Savage Genius - Hikari no Yukue
Attention, coupez votre portable, fermez les fenêtres, clouez la porte et enfermez votre petite soeur dans sa chambre, voilà que débarque Savage Genius avec un single tout récent : Hikari no Yukue, qui en met plein les oreilles et plein la vue, et qui sert d'opening à la série El Cazador de la Bruja, comme si elle ne tapait pas déjà assez dans le too-much.
Mais oublions notre duo atypique "chasseur de primes-iceberg woman", et intéréssons-nous plus particulièrement au clip et à la musique en elle-même. Comme à son habitude, la chanteuse du groupe chante dans les aigus et frôle le ton désagréable de la voix d'Ayumi Hamasaki (mes oreilles ne s'en sont jamais remises...). Le clip est quand à lui très agréable, altérant des prises de vues très soignées dans des bâtiments de métal et de verre regorgeant de superbes effets de lumière (il m'évoque un peu celui d'Innocent Starter, de Nana Mizuki, en plus aboutit). Notons que la chanteuse est absolument charmante avec sa mignonne petit paire de... lunettes (à quoi pensiez-vous, pervers) et la juppe colorée qu'elle porte sur son jean (très mode, tip top comme dirait ce cher Vincent Mc Doom que nous admirons tous pour son sens de la féminité masculine). Le ton de la musique reste très agréable de bout en bout, et nous offre beaucoup d'envolées musicales très appréciables, avec quelques jolis coups de violons et quelques choeurs (forcément, arrangement Yuki Kajiura inside).
Une bonne pioche donc, mais à voir seulement pour le moment de flottement que la musique procure à la première écoute, à force elle devient vite redondante et insupportable...
Mais oublions notre duo atypique "chasseur de primes-iceberg woman", et intéréssons-nous plus particulièrement au clip et à la musique en elle-même. Comme à son habitude, la chanteuse du groupe chante dans les aigus et frôle le ton désagréable de la voix d'Ayumi Hamasaki (mes oreilles ne s'en sont jamais remises...). Le clip est quand à lui très agréable, altérant des prises de vues très soignées dans des bâtiments de métal et de verre regorgeant de superbes effets de lumière (il m'évoque un peu celui d'Innocent Starter, de Nana Mizuki, en plus aboutit). Notons que la chanteuse est absolument charmante avec sa mignonne petit paire de... lunettes (à quoi pensiez-vous, pervers) et la juppe colorée qu'elle porte sur son jean (très mode, tip top comme dirait ce cher Vincent Mc Doom que nous admirons tous pour son sens de la féminité masculine). Le ton de la musique reste très agréable de bout en bout, et nous offre beaucoup d'envolées musicales très appréciables, avec quelques jolis coups de violons et quelques choeurs (forcément, arrangement Yuki Kajiura inside).
Une bonne pioche donc, mais à voir seulement pour le moment de flottement que la musique procure à la première écoute, à force elle devient vite redondante et insupportable...